Il faut que je vous raconte un truc marrant arrivé dernièrement par chez moi... L'autre jour, une femme d'un village voisin, cuisinière de profession (et excellente cuisinière, du reste), a raconté à ma grand-mère pourquoi elle avait volontairement quitté son précédent emploi dans un établissement que je fréquente souvent. La dame était offusquée que sa patronne, Madame L., ne l'autorise pas à prendre son repas à l'heure du déjeuner, sous le fallacieux prétexte qu'à cette heure-là, il y avait trop de travail! Et elle disait en roulant des yeux: "Vous vous rendez compte, Madame Josefina? Ne pas manger à une heure décente? Il y a de quoi perturber franchement mon horloge biologique!"
Le monde à l'envers! C'est vrai, ça, quoi, qu'est-ce que c'est que cette patronne tyrannique qui vous impose de telles horreurs anti-syndicales, juste parce que le restaurant est toujours plein à l'heure du déjeuner?! J'imagine la scène d'ici:
Patronne : Excusez-moi, Teresa, mais les clients de la table 2 attendent leur gratin de morue depuis plus d'une heure, et ils commencent à s'impatienter...
Cuisinière : Ben, ils attendront, quoi! J'ai pas encore pris mon dessert. Et puis vous, sur un autre ton ou je vous laisse plantée là avec vos cinquante clients...
Patronne : Euh... Excusez-moi, Teresa... Vous voulez un petit café, je vous l'apporte...? Mais bon, si vous avez cinq minutes, après le café, auriez-vous l'amabilité de mettre la morue à dessaler, quand même...?
Cuisinière : Serré, le café, hein! Pas comme hier... Et vous m'apporterez un dijo, avec...!
Et le pire, c'est que maintenant, dans tout le coin, c'est la patronne qui est mal vue. Quant à la cuisinière, elle a retrouvé du travail. Mais pour combien de temps...?
Le monde à l'envers! C'est vrai, ça, quoi, qu'est-ce que c'est que cette patronne tyrannique qui vous impose de telles horreurs anti-syndicales, juste parce que le restaurant est toujours plein à l'heure du déjeuner?! J'imagine la scène d'ici:
Patronne : Excusez-moi, Teresa, mais les clients de la table 2 attendent leur gratin de morue depuis plus d'une heure, et ils commencent à s'impatienter...
Cuisinière : Ben, ils attendront, quoi! J'ai pas encore pris mon dessert. Et puis vous, sur un autre ton ou je vous laisse plantée là avec vos cinquante clients...
Patronne : Euh... Excusez-moi, Teresa... Vous voulez un petit café, je vous l'apporte...? Mais bon, si vous avez cinq minutes, après le café, auriez-vous l'amabilité de mettre la morue à dessaler, quand même...?
Cuisinière : Serré, le café, hein! Pas comme hier... Et vous m'apporterez un dijo, avec...!
Et le pire, c'est que maintenant, dans tout le coin, c'est la patronne qui est mal vue. Quant à la cuisinière, elle a retrouvé du travail. Mais pour combien de temps...?
Ahaha ! J'adore !!
RépondreSupprimerNe lui dit pas qu'à la creche, je mange en même temps que les enfants ! :p
très drôle!C'est le monde à l'envers!
RépondreSupprimermdrrr!
RépondreSupprimerc'est serieux ? mdrrrrr
RépondreSupprimerTout à fait authentique, Salwa! Je connais la patronne. Et c'est à ma grand-mère que la cuisinière s'est confiée! :-))
RépondreSupprimerTrès savoureuse, cette petite histoire...
RépondreSupprimerC'est comme moi, si je suis en ligne avec un client, je lui raccroche au nez à 17H15 pétantes. Ben quoi, c'est l'heure officielle de la fermeture du bureau !!!
RépondreSupprimerNann, je ne l'ai jamais fait mais je trouve ton anecdocte tellement cocasse et incroyable !!!