Dessin de Herrmann
La baisse de la consommation de volaille s'établit entre 10 % et 30 % dans les pays d'Europe occidentale depuis début février, mais elle atteint 70 % à 75 % en Grèce et en Italie. En France, les pertes de la filière avicole sont évaluées à 40 millions d'euros par mois, tandis que 8 000 à 10 000 emplois seraient menacés dans les prochains mois. Pour mémoire, le virus est détruit à la cuisson, à partir de 70°. Et, pour les amateurs de tartare de poulet, H5N1 ne résiste pas à l'acidité des sucs gastriques.
Courrier International
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C'est vrai qu'au sud c'est dingue, plus personne ne veut du poulet, récemment y'a meme eu un présentateur du JT qui a dévoré en direct une cuisse de poulet pour montrer qu'il n'y a pas de souci... :-)))
RépondreSupprimermai, euhm... ca existe le tartare de poulet???? (beeerk!!)
En effet, Cenzina. Beeeerk! D'autant qu'il est fortement déconseillé de manger des volailles crues pour cause de parasites intestinaux.
RépondreSupprimerJ'ai eu la même réaction que Cenzina: le tartare de poulet, ça existe? BERK!!! j'ai toujours entendu dire que le poulet (et le porc) ne doivent jamais être consommés crus...
RépondreSupprimerJ'ai d'ailleurs pris du poulet rôti ce midi au resto de mon entreprise, c'était le seul plat pour lequel y avait pas la queue! :-D
je n'arrive vraiment pas à comprendre cette phobie des consommateurs.
RépondreSupprimermoi non plus je ne comprends pas !
RépondreSupprimerIci on en mange pas mal alors si il nous le supprime on va manger des moustiques....hihihihi
RépondreSupprimerEsperons être bientôt quitte de toutes ces histoires de grippe.A mon avis si on savait aucun aliment actuel n' est à mon avis sûr à 100% alors en faisonos nous laisir et puis c'est tout!
RépondreSupprimerElle a raison Moony, mangeons du chat!
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